Espace bien être

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mardi 20 décembre 2011

Les antibiotiques naturels, ça marche vraiment




En nous reposant exclusivement sur les antibiotiques chimiques, nous perdons le combat contre les maladies infectieuses.

Pour éviter une catastrophe imminente nous devrons nous tourner vers la phytothérapie et l’aromathérapie qui ont de nombreuses solutions à proposer.

Voici quelques traitements qui vous donneront les moyens de lutter efficacement contre les infections les plus courantes.

Il ne s’agit pas ici de prétendre que les antibiotiques naturels peuvent, en toutes circonstances remplacer les antibiotiques synthétiques. Mais il reste encore des maladies infectieuses fréquentes pour lesquelles les médecines naturelles et tout particulièrement la phytothérapie par les huiles essentielles présentent des possibilités très intéressantes.

Faire tomber la fièvre

Pour faire chuter une température trop élevée, il existe tout un arsenal de plantes faciles à prendre sous forme de teintures, tisanes ou de décoctions. Mais aussi des bains et des frictions.

  • Infusions
  1. L’eucalyptus
    Originaire d’Australie, l’eucalyptus est utilisé par les aborigènes pour lutter contre les infections et les fièvres.
    Laisser infuser 10 mn quatre feuilles dans une tasse d’eau bouillante. Prendre 3 tasses par jour loin des repas.
  2. Le saule blanc
    C’est un excellent antipyrétique (contre la fièvre). C’est d’ailleurs la salicine (ou acide salicylique) qu’il contient, isolée en 1880 par Bayer, qui a donné naissance à l’aspirine.
    Verser de l’eau bouillante sur une cuillère à café d’écorce séchée. Laisser infuser 20 mn. Masquer le goût amer avec de la cannelle, du gingembre, de la camomille, qui sont aussi antiseptiques.
  3. Tisanes
    75 g de racine de gentiane, 25 g de racine de gingembre, faire bouillir 5 mn et laisser infuser 5 mn. Prendre 4 à 5 fois par jour pendant la durée de la fièvre.
  4. Feuilles d’aulne, de chêne, de grassette à quantité égale
  5. Laisser infuser 10 mn. En boire 3 à 4 tasses.
  6. Poudres et teintures mères
    5 à 10 g de poudre d’écorce de saule blanc à prendre plusieurs fois par jour dans une cuiller de miel.
    50 g d’écorce de saule (en pharmacie) à macérer dans un litre de vin. En prendre un verre avant les repas.
  • Bains et frictions

Ajouter dans l’eau du bain tiède (température inférieure à celle du corps), une cuillère à soupe d’un mélange d’huiles essentielles de gingembre, camomille, genièvre, sassafras (5 gouttes de chaque dans 125 ml d’excipient solubilisant). À la sortie du bain, frictionner avec un mélange de teinture de gingembre (30 gouttes) et d’huiles essentielles de citron, camomille et sassafras (12 gouttes de chaque) dans un flacon de 125 ml d’alcoolat de gentiane.

Cas particulier des enfants

  • Huiles essentielles en massage : 3 ml de ravensara aromatica, 2 ml de myrtus communis CT cinéole, 1 ml d’aniba rosaeodora, 3 ml d’huile vierge de noisette et du transcutol pour faire 15 ml. 6 gouttes sur le thorax et le haut du dos, 6 fois par jour, pendant 48 heures.
  • On peut aussi humecter des compresses froides avec de l’huile essentielle d’eucalyptus, de lavande, d’orange amère et de ravensare (1 goutte de chaque). Appliquer sur le front et faire prendre un bain à peine tiède dans lequel on aura ajouté une cuillère à soupe du mélange suivant : camomille, gingembre, genièvre, sassafras, excipient solubilisant pour faire 150 ml.

Angines

Soigner une angine sans recourir aux antibiotiques synthétiques oui, mais il faut que les symptômes disparaissent en moins de 24 h.

Moyens locaux

  • Extraits de pépin de pamplemousse : le meilleur antibiotique naturel. 3 fois 30 gouttes par jour.
  • Propolis : c’est un antiseptique naturel. Au choix : gélules, poudre, spray, crème, comprimés ou pâte à mâcher.
  • Miel et feuilles de ronces : 1 cuillère à soupe de miel, 1 cuillère à soupe de feuilles de ronces, à laisser infuser 10 mn dans une tasse à thé d’eau bouillante. Gargarismes 3 fois par jour.
  • Racine de phytolaque et souci des jardins : une cuillère à soupe du mélange pour une tasse d’eau bouillante. Laisser infuser 10 mn. Sucrer au miel. 3 tasses par jour.
  • Mûrier noir, réglisse, plantin : 50 g de chaque à faire infuser dans 1/3 de litre d’eau. 3 tasses par jour.

Huiles essentielles :

  • Thym, eucalyptus, niaouli : 10 gouttes de chaque dans un flacon de 60 ml d’élixir de papaïne. Prendre 30 gouttes dans un verre d’eau citronnée tiède, 10 mn avant les 3 repas.
  • Bois de rose, sarriette des montagnes, thym vulgaire : 2 gouttes de chaque dans une cuillère de miel 2 fois par jour.
  • Eucalyptus radiata, girofle, thym à linalol peuvent être utilisés chez l’enfant : 2 gouttes de chaque dans une cuillère de miel 2 fois par jour.
  • Teinture mère (pour les angines aiguës) : calandula ou phytolocca ou ecchinacea. 1 cuillère à soupe dans un verre d’eau, en gargarismes.

Bronchites

  • Extraits secs
  1. En cas de bronchite aiguë : 200 mg d’extrait sec d’echinacée, en gélules ou comprimés, 4 fois par jour.
  2. En cas de bronchite chronique : 200 mg d’echinacée, 2 fois par jour, 3 mois sur 4.
  • Huiles essentielles
  1. Inhaler le parfum d’une ou plusieurs de ces huiles : benjoin, cèdre, citron, encens, eucalyptus, marjolaine et menthe poivrée. Masser la poitrine avec de l’huile de germe de blé, amande douce ou macadamia.
  2. Prendre un bain de 30 mn dans lequel on aura ajouté et bien dispersé 10 gouttes d’huile essentielle de ravensare, niaouli, thym vulgaire.
  • Diffusion atmosphérique.

10 gouttes d’eucalyptus radiata, 10 gouttes de citron, 10 gouttes de ravensara dans un inhalateur. 2 à trois séances de 20 mn.

Otites

Pour les adultes, le citron et l’ail sont conseillés pour leurs vertus antiseptiques.

  • Huiles essentielles

En usage local

  1. Faire préparer le mélange suivant : 0,25 g de lavande, 0, 25 g de girofle, 10 g de glycérine, huile d’amande douce pour faire un flacon de 30 ml. 5 gouttes dans l’oreille, 2 à 3 fois par jour.
  2. Mettre 5 gouttes d’huile d’amande douce dans le conduit auditif externe et fermer avec de la ouate.
  3. Rincer l’oreille avec une infusion de prêle.

En complément de traitement
2 à 3 gouttes d’huiles essentielles de niaouli et de cajeput mélangées à 1 cuillère à soupe de miel, 2 à 3 fois par jour.

À titre préventif
Climarome (mélange d’huiles essentielles) peut être utilisé pour frotter le thorax et le cou de l’enfant avec quelques gouttes, 2 fois par jour.

mercredi 14 décembre 2011

"La non-violence est une arme puissante et juste, qui tranche sans blesser et ennoblit l'homme qui la manie. C'est une épée qui guérit."
Martin Luther King

samedi 10 décembre 2011

Convalescence

Les atouts naturels pour fortifier l’organisme


Produit biologique : la convalescence

Elle marque le temps qui sépare la phase aiguë de la maladie de la guérison complète. Cependant, la convalescence reste négligée. À tort, car un bon rétablissement dépend d’elle et évite rechute ou complications. Les plantes tonifiantes et immunostimulantes soutiendront cette étape importante.

Une phase clé de la maladie

Convalescence : le mot a un petit côté désuet et semble réservé à cette époque où l’on conseillait un séjour à la montagne après une grosse infection. Aujourd’hui, la médecine conventionnelle se fait fort de mettre un terme à la maladie le plus rapidement possible. Les progrès de l’allopathie, mais aussi les rythmes de vie, ont presque fait disparaître cette notion de convalescence que l’on réserve aux cas les plus graves. En lui trouvant une expression plus médicalisée : on parle de « soins de suite ».

Pourtant, dans toute maladie, trois aspects doivent être pris en compte : d’abord le terrain, qui prépare ou permet la phase aiguë de la maladie ; puis la phase symptomatique ; enfin, la convalescence. Celle-ci repré­sente le temps qui sépare la phase aiguë du complet rétablissement, période au cours de laquelle on se relève d’une affection sans avoir atteint la guérison. Elle est très importante car c’est à ce moment que se jouent la rapi­dité mais aussi la qualité du réta­blissement complet, et qui permet d’éloigner le risque d’une rechute ou l’apparition de complications.

La convalescence doit être prise en compte à chaque pathologie, pour aider à restaurer rapidement et durablement le bon fonctionnement de notre organisme. Pour la soutenir, plusieurs plantes, à la fois toniques et immunostimulantes, rendront son efficacité optimale. 

Grippe : éviter les complications

Le terrain est marqué par une réponse immunitaire insuffisante, parfois liée à la fatigue, à une carence en vitamine C, ou à une faiblesse immunitaire globale. La phase aiguë correspond à l’invasion de l’organisme par le virus, avec fièvre, courbatures, toux. Durant la convalescence, fatigue intense et fragilité des poumons s’installent. Si ce stade est négligé, des complications respiratoires peuvent s’ensuivre, comme la bronchite. Chez l’adulte, on peut alors employer une des solutions suivantes, ensemble ou séparément, suivant l’état.

L’argousier pour couvrir les apports en vitamine C.
Mode d’emploi 120 mg par jour minimum pour l’adulte.

Une préparation d’échinacée, de cassis et d’églantier pour stimuler l’immunité.

  • Teinture mère d’Echinacea purpurea : 90 ml
  • Macérat glycériné de cassis : 5 ml
  • Macérat glycériné d’églantier : 5 ml

Mode d’emploi 50 gouttes du mélange, matin et midi.

Une huile aromatique de thym à linalol, eucalyptus radié, pin sylvestre qui stimule l’organisme et le protège des agents infectieux.

  • HE de Thymus vulgaris CT linalol : 1 ml
  • HE d’Eucalyptus radiata : 1 ml
  • HE de Pinus sylvestris : 1 ml • Huile végétale de noisette : 27 ml

Mode d’emploi 5 gouttes en friction sur la poitrine, 2 à 3 fois par jour.

Lutter contre la fatigue

Un aspect important doit être pris en considération pendant la convalescence : la fragilité de l’organisme. Il convient donc de le protéger, notamment dans les zones où il a été affaibli. Cette fragilité peut s’exprimer sur le site même de la maladie : après une bronchite, par exemple, les poumons gardent un fond d’inflammation qui peut favoriser une nouvelle pathologie respiratoire.

L’utilisation de plantes immunostimulantes est indiquée, surtout dans les convalescences de maladies infectieuses. Rappelons que pour respecter le fonctionnement complexe du système immunitaire, elles ne doivent pas être employées au-delà de trois semaines. D’autres manifestations peuvent apparaître, comme un herpès labial dû à la faiblesse occasionnée par cette même bronchite. La fatigue représente d’ailleurs une cause de rechute ou de retardement de la guérison, et il convient de la prendre en charge comme un symptôme à part entière.

Une alimentation équilibrée est essentielle, qui doit tenir compte des particularités de la situation : riche en protéines pour éviter la perte de muscles en cas d’immobilisation, pauvre en sel dans le cas d’un traitement avec des corticoïdes, etc. Un apport régulier et complet de nutriments permet un meilleur dynamisme de l’orga­nisme en entier, y compris de son immunité, par exemple. La vitamine C joue un rôle important dans le traitement. Elle participe aussi au bon fonctionnement des défenses immunitaires, il faut donc veiller à un apport régulier, d’autant qu’elle ne peut pas être stockée dans l’organisme. On alternera les jus de citron, d’orange, de kiwi

On a d’autant plus de mal à se débarrasser de la fatigue que le sommeil peut être perturbé : douleurs ou quintes de toux ne facilitent pas une nuit paisible et certaines plantes améliorent le repos sans amoindrir le tonus de l’organisme. C’est le cas de la passiflore, de l’eschscholtzia ou de la mélisse. Le millepertuis peut optimiser la récupération mais son utilisation se révèle plus délicate en raison des risques d’interactions avec les médicaments. Il permet toutefois de soutenir l’humeur dans les mala­dies difficiles ou longues, facteur important dans le processus de guérison. 

Les plantes immunostimulantes

  • L’échinacée, Echinacea purpurea

Cette plante possède aussi des propriétés anti-infectieuses. Elle se plaît très bien au jardin. L’échinacée perd beaucoup de ses propriétés au séchage, il convient donc d’utiliser des préparations réalisées avec la plante fraîche.

  • L’églantier, Rosa canina

La rose sauvage est utile par son fruit, riche en vitamine C et en fer, et par son bourgeon, un anti-inflammatoire des voies respiratoire. Le macérat glycériné d’églantier peut être pris avec le cassis pour une action antifatigue.

À savoir : Ces plantes s’emploient en cures de vingt jours pour ne pas perturber le système immunitaire global. Elles sont contre-indiquées en cas de maladie auto-immune.

Atténuer les effets des médicaments

Les médicaments administrés pendant la maladie peuvent entraîner des effets secondaires qui entravent la convalescence. C’est le cas de la plupart des antibiotiques qui détruisent la flore intestinale et provoquent des diarrhées, et des mycoses vaginales chez la femme. Ce déséquilibre nuit aussi à l’immunité générale qu’il convient de renforcer. Pour cela, il est utile de réaliser une cure de probiotiques, si possible frais, qui permettront de recouvrer l’équilibre intestinal. Certains aliments ou compléments alimentaires agissent sur l’équilibre de la flore intestinale : légumes lacto-fermentés, kombucha…

D’autres médicaments peuvent aussi affaiblir un organe particulier, comme le foie dont une des fonctions consiste à éliminer de notre corps les substances étrangères. À forte dose ou dans des traitements lourds, il peut même être endommagé (on observe alors une augmentation des transaminases, comme dans le cas d’une intoxication alcoolique). Deux plantes permettent de soutenir l’activité hépatique et de régénérer les cellules endommagées, l’une européenne, le chardon-Marie, l’autre américaine, le desmodium. Elles stimulent la croissance des cellules saines du foie et sont employées dans de nombreuses pathologies : hépatites virales, toxiques, cirrhose… Attention : leur utilisation est soumise à l’avis du médecin en cas de traitement en cours car ces plantes, en favorisant l’élimination des médicaments, peuvent en diminuer l’efficacité. 

vendredi 9 décembre 2011

arbre urinaire et huiles essentielles


Les cystites à répétition sont principalement dues à l’absurdité des traitements antibiotiques qui tuent aveuglément, y compris les bactéries protectrices. À l’inverse, les huiles essentielles nettoient en douceur l’appareil urinaire sans compromettre le fragile équilibre de la flore intestinale.

La cystite est plus fréquente chez les femmes que chez les hommes car elles possèdent un urètre court et proche de l’anus, ce qui facilite la contamination de la vessie par les bactéries intestinales. Cette inflammation bénigne de la vessie se caractérise par une envie impérieuse d’uriner et d’intenses brûlures lors de la miction. Il est important de bien la soigner, car l’infection peut nettement s’aggraver en atteignant le rein et en causant une pyélonéphrite (infection bactérienne de l’appareil urinaire dans sa partie haute).

Cystite et dysfonctionnement digestif

Dans 90 % des cas, les cystites sont infectieuses. L’inflammation est souvent provoquée par une bactérie naturellement présente dans l’intestin, l’Escherichia coli. Quand la flore intestinale est perturbée (constipation, diarrhée…), les bactéries et champignons prolifèrent anormalement et migrent vers l’appareil sexuel et urinaire. Ce déséquilibre est souvent causé par les traitements allopathiques eux-mêmes (et parfois par ceux qui sont censés traiter la cystite !) car les antibiotiques que l’on prescrit généralement dans ce cas ne font pas de distinction entre les microbes à tuer et les bactéries « amies », nécessaires au bon équilibre de la flore intestinale. Si l’on est sujette aux cystites, il est donc important de vérifier qu’on ne souffre pas de troubles du transit ou de mycoses vaginales récidivantes. Si c’est le cas, il y a de grandes chances qu’en soignant les problèmes gastriques, les cystites et autres mycoses disparaissent.


Recommandations alimentaires et hygiéniques

Le mieux est d’absorber un litre et demi d’eau par jour en buvant plutôt de petites quantités, mais fréquemment. Bannissez le thé, le café, les épices, le vin blanc et le champagne qui augmentent l’irritabilité de la vessie et de l’urètre.

Aux toilettes, il faut s’essuyer d’avant en arrière pour éviter que des bactéries intestinales parviennent à l’urètre et remontent dans la vessie. Surtout, ne vous retenez pas et veillez à une miction complète pour bien vider la vessie des éventuelles bactéries qui la colonisent. Urinez d’un seul jet car les pauses lors des mictions peuvent entraîner le dépôt des bactéries sur les parois. Enfin, il faut savoir que l’acte sexuel favorisant la migration des germes dans l’urètre, il faut uriner après chaque rapport pour faciliter leur élimination. Et si vous utilisez un préservatif, ajoutez un lubrifiant. Non seulement le préservatif ne protège pas des risques de cystite mais peut même en favoriser le développement par l’irritation qu’il provoque.

Traitement

On peut traiter les cystites en employant un mélange de teinture mère (TM) et d’huiles essentielles (HE).

  • La TM de busserole (Arctostaphylos uva ursi) et l’HE de bruyère (Caluna vulgaris) contiennent de l’arbutoside, un puissant antiseptique urinaire.
  • L’HE de canneberge (Vaccinium macrocarpon) est composée de molécules (les PAC ou proanthocyanidines de type A) qui empêchent les bactéries de s’accrocher aux parois urinaires.
  • L’HE de cajeput (Melaleuca leucadendron) et de niaouli (Melaleuca quinquenervia cineolifera) sont de puissants anti-infectieux, aussi bien intestinaux qu’urinaires.
  • L’HE d’origan (Origanum vulgare) et de santal (Santalum album) sont particulièrement efficaces sur les microbes et bactéries intestinaux, en particulier l’Esche­richia coli.

Ces différents composants pourront être employés à parts égales, mais ils existent aussi dans un complex baptisé Cystactif.

  • Lors des crises, prendre 3 fois 20 gouttes par jour.
  • Au-delà de quatre cystites par an, il est nécessaire de procéder à un examen gynécologique pour chercher une anomalie ou une infection de l’appareil génital. Dans ce cas, un traitement de fond s’impose : prendre 20 gouttes du mélange chaque jour pendant 2 mois.

Laboratoire S&P
8 venelle de Sart
B-1300 Wavre
Belgique
Tél. : 00 32 10 24 57 72
En France : 04 50 37 91 01
Email : info@labosp.com
Site : www.labosp.com

Remonter son niveau vibratoire


L’être humain vibre à une fréquence qui lui est propre et en principe harmonisée avec celle de la Terre. On s’est rendu compte que lorsque le niveau vibratoire de l’organisme baisse, l’individu est plus enclin à développer des maladies. Voici ce que nous savons aujourd’hui de ce phénomène.

Tout notre corps est formé d’énergie. Chaque cellule est un mini-circuit oscillant comme l’ont démontré les admirables travaux de Georges Lakhovsky il y a près d’un siècle. Les membranes cellulaires présentent des charges négatives à l’intérieur et positives à l’extérieur produites par des différences de concentration de minéraux (sodium et potassium) entre les milieux intérieur et extérieur. Les charges électriques constatées sont très importantes : elles sont de l’ordre de 106 volts par mètre (V/m). C’est ensuite la moyenne des vibrations de toutes les cellules du corps qui donne le taux vibratoire d’un individu.

On considère que la zone de bonne santé correspond à un taux vibratoire moyen entre 7 000 et 9 000 unités Bovis (UB) mesuré par radiesthésie. Depuis plus de dix ans, on observe que le taux moyen a tendance à augmenter. Nous atteignons parfois le record de 9 500 UB, voire de 10 000 UB. Un état qui porte pour certaines personnes à la surexcitation, alors que pour d’autres elle conduit à l’ouverture de l’esprit et de la conscience sur d’autres dimensions.

Malheureusement, la baisse de ces fréquences vibratoires est beaucoup plus fréquente. Les causes proviennent d’un mode de vie déséquilibré comme on le connaît trop bien dans notre société : stress, alimentation industrielle, sédentarité, mauvaise respiration, tabac, drogue… Mais entrent aussi en ligne de compte, les pensées négatives sur soi-même et sur les autres, les perturbations géobiologiques des lieux de vie, les champs électromagnétiques artificiels, la présence d’entités, de sangsues ou de trous dans les corps énergétiques… Autant d’éléments qui pompent ou qui font perdre les énergies de l’organisme.

Ainsi, lorsque le taux vibratoire passe en dessous de 6 000 UB, la personne arrive dans une zone propice à la maladie. Chaque maladie correspond à un niveau vibratoire qui lui est propre, et plus celui-ci est bas, plus la maladie est grave.

Retrouver les bonnes vibrations

En cas de maladie, une des premières choses à réaliser est de remonter le niveau vibratoire de la personne malade. Un thérapeute pourra bien sûr commencer par donner de l’énergie. Mais il faudra également que la personne œuvre par elle-même. Pour cela elle doit s’employer à :

  • Privilégier la consommation d’aliments biologiques, frais, de saison, de pays, de préférence crus ou faiblement cuits. Car une alimentation biologique vibre aux alentours de 9 000 à 10 000 UB alors qu’une alimentation industrielle se situe entre 6 000 et 7 000 UB. Donc l’une apporte de l’énergie, tandis que l’autre en pompe pour être digérée.
  • Boire de l’eau énergétisée. Dans ce but on peut avoir recours à un magnétiseur, ou verser un peu de jus de citron bio dans une bouteille. On peut l’agiter (en secouant la bouteille d’eau ou en passant l’eau au mixeur). On peut aussi placer une bouteille d’eau en verre au soleil, ou y mettre une pierre de shungite, ou encore la poser auprès d’une coquille Saint-Jacques.
  • Respirer de l’air ionisé négativement est excellent. Cet air est présent naturellement au bord de la mer, en haute montagne, auprès des cascades… Dans les habitations, il est possible d’utiliser une lampe de sel.
  • Pratiquer une activité physique est important, comme le mouvement, la musique rythmée. Il a été démontré, par exemple, que l’exercice favorise la multiplication des mitochondries dans les cellules. Or ces organites fabriquent l’adénosine triphosphate (ATP), qui apporte l’énergie à l’ensemble du corps.
  • Vivre dans une habitation – et un lieu de travail – présentant un bon niveau vibratoire, principalement aux endroits où l’on stationne le plus longtemps : lit, bureau, canapé, cuisine… Les conseils d’un géobiologue peuvent se révéler utiles lorsqu’on se sent fatigué chez soi. Il est aussi important de prévoir de bonnes ouvertures aux habitations afin de permettre l’entrée de la lumière solaire.
  • Privilégier les pensées positives, les pensées élevées d’amour, de partage, de compassion est également un moyen d’augmenter son niveau vibratoire.

dimanche 27 novembre 2011

Matin magique

Fais n'importe quoi mais tires en de la joie!
Henri MILLER


La valeur des choses n’est pas dans ce qu’on y a investi… elle est dans ce qu’elles nous apportent aujourd’hui. Point à la ligne. Les larmes que l’on a versées, le temps que l’on a sacrifié, l’énergie que l’on a dépensée ne veulent rien dire, en soi. Le passé n’existe plus. La seule chose qui ait du sens ou de l’importance est la joie que la situation nous apporte à partir de maintenant. Et si une situation est source de douleur, elle n’a aucune valeur, même si on y a investi tout ce que l’on avait.

Vous avez peut-être passé votre vie à bâtir une carrière que vous n’avez jamais aimée, ou que vous n’aimez plus aujourd’hui. Vous avez peut-être investi des dizaines d’années dans une relation toxique. Ce n’est pas une raison suffisante pour continuer. La seule raison de continuer est de vouloir continuer. Cela semble peut-être énorme juste à y penser, mais vous avez le droit de renoncer au temps et à l’énergie que vous avez investis dans ces souliers. De toute façon, il est impossible de les récupérer. Oh, cela sonne un peu triste… Mais ça ne l’est pas. Il n’y a rien de triste à se libérer de ce qui ne nous convient pas.

image étoile

Certains apprentissages coûtent cher – ou du moins, ils semblent coûter cher, au tout début. Mais parfois, le meilleur investissement est de gaspiller tout ce que l’on a investi. Car le véritable gaspillage n’est-il pas de vivre une vie qui ne nous ressemble pas et de passer nos journées à faire semblant? Aucun prix n’est trop élevé pour être en alignement avec ce que l’on est et ce que l’on veut vraiment… Et il n’y a rien de beau ou de noble à rester dans l’inconfort juste parce qu’on l’a payé chèrement.

Oh, il n’est pas question ici d’abandonner la formation, de quitter l’emploi, de briser la relation. La vie est beaucoup plus complexe et nuancée que cela. Il est plutôt question d’enlever de l’équation la peur de gaspiller et le sentiment d’obligation. Ainsi, si on décide de garder les souliers, ou d’essayer de les modifier, on le choisit parce qu’on en a envie – ou parce qu’on a envie d’en avoir envie, et que l’on veut prendre les moyens pour y arriver. Quoi que l’on fasse, on le fait, parce qu’on le désire sincèrement… non pas parce qu’on se pense coincé, ou parce qu’on veut rentabiliser notre investissement.

Je ne sais pas si vous portez des souliers inconfortables présentement… et je ne sais pas combien vous y avez investi au fil du temps. Peut-être très peu. Peut-être beaucoup. Peut-être avez-vous l’impression de leur avoir donné votre vie. Mais même si vous avez le vertige à l’idée de les laisser aller, ou simplement à l’idée de vous accordez la permission de les laisser aller, j’aimerais vous rappeler une chose: vous valez infiniment plus que tout ce que vous aurez l’impression de gaspiller. Et quoi qu’il advienne, vous serez toujours bien nu-pieds.

Sur ce, je vous souhaite une délicieuse journée. :-)
Marie-Pier
Psssst: Si vous recevez ce courriel d’un ami qui a eu la gentillesse de partager Matin Magique avec vous, notez que vous pouvez vous abonner également sur http://matinmagique.com (sans frais) et recevoir votre propre copie. Je serais ravie de vous accueillir dans la grande famille magique. :-)

jeudi 24 novembre 2011

Bruno LALLEMENT


Un passionné de connaissance de soi et de développement personnel

Ce n'est pas seulement les lourdes épreuves qu'il a connu durant une longue partie de sa vie qui ont motivé sa recherche, mais aussi sa soif de vivre, de connaître, de découvrir, d'apprendre et de donner un sens à sa vie.

4ème enfant d'une famille nombreuse, sa mère est une immigrée polonaise et son père français, ouvrier chez Solvay. Il grandit dans les cités ouvrières de sa Lorraine natale. L'atmosphère ressemble davantage à celle décrite dans les contes de Zola, que celle que l'on voit dans les jardins d'enfants.

A huit ans Bruno Lallement est brutalement renversé par une voiture, il passe alors plusieurs semaines à l'hôpital. Maltraité par un professeur cruel et autoritaire pendant sa scolarité, il se réfugie dans le dessin et la peinture. C'est un artiste en herbe qui possède un sens de l'observation surprenant qui lui permet de reproduire avec une incroyable précision ce qu'il voit.

Sa scolarité est moyenne dans une école où l'autoritarisme fait régnier davantage la terreur que le respect.

Malgré les épreuves parfois cuisantes, Bruno Lallement est un optimiste, comme s'il ne doutait pas que le bonheur était parfaitement possible en ce monde.

Après 3 années de travail comme technicien de maintenance, il quitte son poste et sa famille pour ... se retrouver SDF. Il connait alors la dure réalité de la rue et des foyers. Pourtant il réussi à survivre en faisant du théatre de rue avec des artistes qu'il a rencontré à Paris.

Avec ses maigres revenus il continue alors une formation en psychologie déjà entamé par correspondance. Il se passionne pour la connaissance de soi et le développement personnel. S'initie à différentes formes de thérapies, à l'hypnose, la sophrologie, la pédagogie active, la médecine chinoise etc ...

Une rencontre hors du commun

De recherche en recherche, il découvre l'orient avec ses maîtres de méditation, mais sans aller géographiquement très loin il participe à des sessions avec Carl Graf Durkeim en forêt noire, avec Carl Roger lors de sa dernière venue en France en 1983. Il rencontre aussi Gérard Duruz avec qui il se lie d'amitié ...

Puis il fait une rencontre boulversante auprès de Shimed Rigzin Rinpoché, un des plus grands maître que connu le bouddhisme tibétain. Il le côtoie en privé, va le voir aussi souvent que possible, s'imprègne de cette dimension qui l'impressionne et l'exalte en même temps.

meditation

Il est subjugé par cette force tranquille qu'incarne ce grand maître dont la dimension n'a égale que son amour pour l'humanité. C'est un sage hors norme, hors du commun, non conventionnel qui marqua toute sa vie.

Sans jamais être devenu boufddhiste pour autant, il est très sensible aux enseignements donnés par ces maîtres. Il n'hésite pas alors à rencontrer d'autres êtres accomplis, haut en couleur, comme Sogyal Rinpoché ainsi Que Sa Sainteté Le Dalaï Lama dont il bénéficie de plusieurs sessions d'enseignements.

mercredi 23 novembre 2011

vitamines et études bidons


Augustin de Livois
Président de l'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle

Etudes bidons sur les vitamines : ATTENTION DANGER

Depuis plusieurs mois fleurissent des articles dans les journaux nous mettant en garde contre les vitamines et autres compléments nutritionnels. Ces produits, nous dit-on, augmenteraient notre risque de tomber malade de ceci, ou de mourir de cela.

En se prévalant d'articles scientifiques issus de grandes revues médicales internationales, des journalistes nous expliquent que l'excès de vitamines est dangereux pour nous.

La conclusion est toujours la même : surtout, ne faites rien, attendez de tomber malade. A ce moment, vous irez chez le médecin et vous prendrez les médicaments chimiques qui vous seront prescrits – sans poser de question.

En réalité, cette présentation des faits est trompeuse et dangereuse : elle risque de décourager un grand nombre de patients de changer leurs modes de vie et de les détourner de l'usage de compléments nutritionnelsdécisifs pour leur santé.

Un parti-pris trompeur

Beaucoup de scientifiques et de médecins sérieux ont pris la plume sur Internet, souvent avec talent, pour dénoncer la manipulation derrière ces articles, et souligner les failles méthodologiques qui remettent en cause les conclusions des études présentées au grand public. (1)

Malheureusement, la quasi-totalité des médias influents en France (chaînes de télévision, radios à grande écoute, grands journaux et hebdomadaires nationaux), continuent aujourd'hui à essayer de décourager le public de se soucier de ses apports nutritionnels et de son mode de vie.

« Les compléments vitaminés dangereux », annonçait l'Agence France Presse (AFP), dans une dépêche du 10 octobre 2011, suite à un article paru dans les Archives of Internal Medicine.

« Les compléments vitaminés s'avèrent inutiles pour une majorité de personnes et certains d'entre eux peuvent même entraîner des risques mortels chez les femmes âgées. Les compléments de fer figurent parmi ceux qui inquiètent le plus les chercheurs... », renchérissait Le Figaro le lendemain.

Trois semaines plus tard, ce même journal, qui s'intéresse si peu aux vitamines lorsque des études concluent à leurs bienfaits, titrait à nouveau que « L'excès de vitamines peut être dangereux », le 31 octobre 2010.

Il s'agissait cette fois de l'étude Select, présentée comme ayant démontré que la vitamine E était dangereuse. (2)

Résultats connus d'avance

En réalité, les résultats de l'étude Select n'ont surpris aucun spécialiste de la santé naturelle. Les chercheurs, volontairement ou non, avaient effectivement réuni les conditions pour constater une augmentation du cancer de la prostate chez les personnes ayant pris de leur vitamine E.

Car ils ont utilisé une forme artificielle de vitamine E, dérivée du pétrole, connue pour ses effets toxiques, et fortement déconseillée par par la majorité des spécialistes indépendants. A tel point que le site GreenMedInfo.com a consacré une page entière à toutes les recherches, dont les premières remontent à 1986, et qui ont démontré qu'il ne fallait pas donner de compléments alimentaires à base de vitamine E synthétique (artificielle). (3)

Une étude finlandaise, qui a eu recours à une forme naturelle de la vitamine E, le d-alpha tocophérol, à une dose de 50 Unité Internationales (UI) par jour, a conclu au contraire que la vitamine E, combinée au beta-carotène, diminue bel et bien de 30 % le risque de cancer de la prostate. (4)

Mais le cas le plus caricatural est sans doute la grande étude Iowa Women’s Health Study publiée dans Archives of Internal Medicine le 10 octobre 2011. Cette étude, parue le 10 octobre dernier, a servi de prétextes à des milliers de gros titres annonçant que les femmes ayant utilisé des compléments alimentaires ont connu une mortalité supérieure aux femmes qui n’en ont pas pris.

En réalité, pour peu que l'on prenne la peine de lire l'étude elle-même, ce que n'ont manifestement pas fait beaucoup de journalistes, on s'aperçoit que les données brutes recueillies par les chercheurs démontrent au contraire une baisse de la mortalité chez les femmes prenant des compléments vitaminés !

C'est incroyable... mais vrai.

Encore plus fort, une fois les statistiques corrigées pour tenir compte de l’âge et de l’énergie des personnes observées, voici ce que trouvent les auteurs de l’étude :

  • Les femmes qui ont déclaré avoir consommé des complexes de vitamines B avaient une mortalité inférieure de 7 % à celles qui n’en avaient pas consommé ;
  • Pour les suppléments de vitamine C, la réduction de mortalité était de 4 %
  • Pour la vitamine D, la mortalité était plus basse de 8 %
  • Pour le magnésium, la mortalité était plus faible de 3 %
  • Pour le sélénium, la mortalité était plus basse de 3 %
  • Pour le zinc, la mortalité était plus basse de 3 %
  • Pour le calcium, la mortalité est réduite de 17 %

La seule association négative qu'ils ont trouvée concernait les compléments nutritionnels de cuivre (très rares à des doses élevées). Mais le cuivre n'est pas une vitamine et, comme le fer, il a un effet oxydant (producteur de radicaux libres). Cet effet est connu de tous les naturopathes sérieux, qui ne recommandent donc la supplémentation en cuivre et en fer que dans les cas de carences démontrées.

Motivations troubles

Pourquoi les chercheurs de l'Iowa Women’s Health Study ont-ils annoncé avec tambours et trompettes que les compléments vitaminés étaient dangereux, alors ? Et pourquoi les médias ont-ils repris cette information à si grande échelle alors que, habituellement, la santé naturelle et les vitamines les intéressent si peu ?

Hé bien, pour une raison... tordue. Les auteurs de cette étude ont introduit d'autres « biais statistiques » dans leurs chiffres, supposément pour les corriger, mais peut-être aussi pour trouver... ce qu'ils avaient envie de trouver !

Ils ont d'abord « ajusté » les chiffres pour tenir compte du niveau d’éducation, du lieu de résidence, de l’existence ou non d’un diabète, d’une hypertension, de l’indice de masse corporelle, d’un traitement hormonal de substitution, de l’activité physique, du tabagisme.

Autant de facteurs certes intéressants en soi, mais introduits « à la louche » dans les statistiques, et si nombreux qu'ils risquent de leur faire perdre toute lisibilité.

Mais ça n'a pas suffit : les chiffres continuaient à montrer une baisse globale du risque de mortalité, pour les personnes prenant des compléments vitaminés !

Alors ils ont pratiqué un quatrième ajustement, qui a introduit dans le modèle la consommation d’alcool, d’acides gras saturés, de céréales complètes, de fruits et de légumes. Et ce qui devait arriver arriva : à force de tripoter les chiffres, ils sont parvenus à inverser les conclusions de leur enquête, de manière à faire apparaître un risque lié à la consommation de certains compléments vitaminés !

Ces ingénieux chercheurs ont d'ailleurs opportunément « oublié » d'autres variables, qui auraient pu remettre en cause leurs résultats. Par exemple, ils n'ont pas pris en compte l'état de santé des femmes de l'étude (!), ils ont étudié un segment sociologique bien déterminé de la population américaine et, surtout, ils n'ont pas cherché à savoir si les vitamines prises en complément étaient naturelles ou artificielles.

En conclusion, cette grande étude a brouillé le tableau, au lieu de contribuer à le clarifier. Elle a permis à des journaux de vendre beaucoup de papier, et sans doute renforcé la conviction de nombreux médecins que, face à la maladie, les médicaments chimiques sont la seule réponse sérieuse.

Surtout, cette étude a probablement déstabilisé de nombreuses personnes qui prenaient des compléments alimentaires pour améliorer leur santé.

Les compléments alimentaires préviennent des maladies

Et pourtant, on sait que l'utilisation de compléments nutritionnels ciblés aide à prévenir les maladies et à atteindre un état de santé optimal. Une des études les plus rigoureuses qui aient été réalisées sur le sujet, l'a démontré au-delà de toute incertitude.

Il s'agit de l'étude réalisée par le bureau d'étude indépendant Lewin Group. (5)

Dans cette étude, les chercheurs ont été extrêmement stricts et ont pris en considération uniquement les compléments nutritionnels qui respectaient les critères suivants :

  1. Les compléments nutritionnels devaient produire un effet physiologique mesurable (et pas seulement des déclarations du patient témoignant d'une amélioration de son état) ;
  2. L'effet physiologique devait créer un changement de statut médical du patient ;
  3. Ce changement de statut du patient devait s'accompagner d'une réduction de ses dépenses de santé.

Et voici ce que les chercheurs ont constaté :

Calcium et vitamine D sont efficaces contre l'ostéoporose

Les auteurs de l'étude ont conclu que si toute la population retraitée des USA prenait 1200 mg de calcium et 400 UI de vitamine D par jour, cela permettrait de prévenir plus de 776 000 hospitalisations pour fracture du col du fémur sur cinq ans, et économiser 16,1 milliards de dollars.

Les oméga-3 sont efficaces pour le cœur

Les acides gras polyinsaturés à longue chaîne oméga-3 contribuent à prévenir les troubles du rythme cardiaque, améliorent le fonctionnement des membranes cellulaires, réduisent l'inflammation, diminuent le cholestérol et la pression sanguine, et ont bien d'autres effets positifs (sur le moral et les performances intellectuelles, par exemple).

Le Lewin Group a conclu qu'en donnant à la population retraitée américaine environ 1800 mg d'oméga-3 par jour, cela réduirait le nombre d'hospitalisations pour maladies cardiaques de 374 000 sur 5 ans. Les économies réalisées sur les frais d'hospitalisation et les consultations médicales s'élèveraient à 3,2 milliards de dollars.

La lutéine, la zéaxanthine efficaces pour la vue

Le Lewin Group a également analysé les effets de la lutéine et de la zéaxanthine, un caroténoïde que l'on trouve dans les légumes jaunes et orange. Sous forme de compléments alimentaires, on sait qu'ils permettent non seulement de prévenir, mais aussi de traiter la dégénérescence maculaire, c'est-à-dire la perte de vision centrale, une des principales raisons pour laquelle les personnes âgées ont besoin d'une aide médicale à domicile. L'étude a conclu que prendre 6 à 10 mg de lutéine et de zéaxanthine chaque jour aiderait 190 000 personnes à rester indépendantes, et permettrait d'économiser 3,6 milliards de dollars sur cinq ans.

Et ce n'est pas tout !

Vous ne risquez pas de lire ce type de nouvelles dans les grands médias, qui restent farouchement opposés à l'idée qu'il puisse exister une voie en dehors de la médecine officielle basée sur la chirurgie et les médicaments chimiques.

Et pourtant, les nouvelles médecines naturelles, validées par la recherche scientifique, permettent aujourd'hui de prévenir, d'améliorer, voire de traiter, la plupart des maladies. Une véritable révolution est en marche. Vous pouvez accéder gratuitement aux nouvelles découvertes les plus utiles en vous abonnant maintenant à la lettre d'information électronique gratuite Santé & Nutrition.

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Bien cordialement,

Jean-Marc Dupuis

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Sources de cet article :

(1) Voir en particulier Thierry Souccar, « Des vitamines qui augmentent la mortalité », lanutrition.fr, archives payantes, et Dr Mark Hyman dans Huffington Post, le 21 octobre 2011 (article en anglais) : http://www.huffingtonpost.com/dr-mark-hyman/vitamin-dangers_b_1018430.html

(2) Elevated Risk for Prostate Cancer Found with Vitamin E Supplementation, JWatch General. 2011;2011(1025):2.

(3) La page est accessible à l'adresse suivante : http://www.greenmedinfo.com/toxic-ingredient/dl-alpha-tocopherol-acetate

(4) http://www.medicinenet.com/script/main/art.asp?articlekey=6102

(5) http://www.lewin.com/

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samedi 19 novembre 2011

aloe véra et rhumatisme



Le terme de rhumatisme est utilisé pour définir, de manière assez large,
diverses affections osseuses, articulaires ou péri-articulaires
(autour de l'articulation), d'origine inflammatoire ou mécanique.

Il en existe deux grandes catégories :

- les rhumatismes inflammatoires, qui peuvent toucher les sujets jeunes ;
- les rhumatismes dégénératifs, dus à l'arthrose, qui apparaissent après
la cinquantaine.

Qu'est-ce que l'arthrose ?

L'articulation est une jointure osseuse permettant le mouvement de deux os
l'un par rapport à l'autre. La surface de contact est recouverte de cartilage
pour limiter le frottement. L'arthrose résulte de la dégénérescence du cartilage
articulaire, due au vieillissement, à des chocs ou à des mouvements anormaux.

L'altération du cartilage provoque des douleurs lors des mouvements, puis
l'usure des extrémités osseuses aboutit progressivement à un enraidissement
de l'articulation.

Il existe une inflammation lors des poussées douloureuses, mais cette
inflammation est une conséquence et non une cause de l'arthrose.

Le diagnostic d'arthrose est porté lorsque trois caractéristiques sont réunies :

* La douleur est évocatrice : modérée le matin, rarement nocturne,
aggravée avec une impression de "dérouillage" matinal, présente même au repos.
* La radiographie montre des signes d'usure du cartilage.
* La prise de sang ne montre pas de signe d'inflammation.


Les principales formes d'arthrose

L'arthrose atteint le plus souvent la hanche, le genou, la main, la colonne
vertébrale, mais peut toucher d'autres articulations.

L'arthrose de la hanche, ou coxarthrose, est très fréquente; elle est souvent
due à une anomalie anatomique telle qu'un col du fémur de forme inadaptée.

A la douleur initiale succèdent une boiterie et une limitation des mouvements

SE SENTIR MIEUX AVEC L'ALOE VERA

Boire 30 ml d'Aloe Vera Gel Life Essence au miel 3 fois par jour.
Boire 50 ml d'Aloe Vera Gel Freedom 3 fois par jour pendant une semaine
puis 30 ml. Faire une cure de 3 mois en alternant ou combinant les 2 produits.

Lisez le témoignage de Uta Neumann.

Avant :

"Depuis 10 ans, je souffre de rhumatismes dans les articulations provoquant
de fortes douleurs et une limitation des mouvements, allant jusqu'à l'immobilité.
Je dois prendre 4 à 6 comprimés différents par jour, qui bien sûr, ont aussi
d'importants effets secondaires.

Mon système immunitaire était complètement à plat. J'avais des problèmes
d'estomac, souvent des inflammations de la vessie et des reins, des rhumes
et souvent des aphtes, des douleurs aux 2 premiers jours des règles."

Après :

"Après une semaine de prise de gel d'Aloe Vera au miel, mes problèmes
d'estomac ont disparu. Un autre effet positif a été la disparition de mes
douleurs pendant mes règles.

Je me sens de nouveau en pleine forme.

La dernière crise de rhumatisme a été beaucoup moins douloureuse que
d'habitude. Je vais maintenant 1 à 2 fois par jour aux toilettes.

Influence positive aussi sur ma peau (paraît plus fraîche et plus lisse).
Jusqu'à maintenant plus de problèmes de vessie ou de reins."

dimanche 13 novembre 2011

Matin magique


«Vivre, c'est se réveiller la nuit dans l'impatience du jour à venir, c'est s'émerveiller de ce que le miracle quotidien se reproduise pour nous une fois encore, c'est avoir des insomnies de joie.»
– Paul-Emile Victor


Qu’aimeriez-vous avoir ou vivre? Si je vous demandais de lister cinq désirs profonds qui vous habitent (et on dirait bien que je suis en train de vous le demander), quels seraient-ils?

Je peux deviner une chose au sujet de votre liste. Oui, oui! Voyez-vous, je viens de suivre une formation avancée en télépathie (elle incluait un module «voyage dans le temps», bien sûr, donc je peux connaître votre réponse même si elle n’est pas encore formée dans votre esprit). Ainsi, bien que mon intention ne soit certainement pas de vous impressionner avec mes nouvelles habiletés (O.K., peut-être un peu...), je peux donc déjà vous informer que votre liste a une chose en commun avec la mienne : aucun de vos cinq désirs ne fait partie de votre vie présentement. Ou du moins, pas complètement.

N’est-ce pas?
image étoile

C’est intéressant, quand on y pense… Pour nous, «vouloir» veut automatiquement dire «vouloir une chose que l’on n’a pas déjà». Un désir est, par définition, inassouvi. Et si on vit présentement un rêve que l’on caressait jadis, ce n’est maintenant officiellement plus un rêve… c’est juste notre vie.

On parle souvent de la gratitude… de savourer intensément ce que l’on a, de célébrer notre vie exactement telle qu’elle est maintenant. Ce principe est définitivement au cœur de ma vie – et certainement au centre de la vôtre, aussi. Mais bien que le fait de profiter des petits trésors de notre quotidien soit déjà extraordinaire en soi, pourquoi ne pas faire en sorte de les convoiter, en plus – de les désirer aussi puissamment qu’on les désirerait s’ils n’étaient pas encore là? Hmm… C'est la puissance de la passion qui rencontre la douceur de la gratitude, ici, en fin de compte. Le meilleur des deux mondes!

Évidemment, désirer ce que l’on n’a pas est beaucoup plus excitant… Après tout, c’est souvent accompagné de cette délicieuse frustration que l’on aime tant! ;-) Mais convoiter ce qui fait déjà partie de notre vie est bien plus satisfaisant quand on se fait à cette idée, et après un peu de pratique. Car j’imagine que vous l’avez remarqué, vous aussi… Mais ce que l’on a déjà est, justement, déjà là. Rien à chercher, rien à attendre, satisfaction garantie!

Ainsi, qu’en pensez-vous? Oups… Je sais déjà ce que vous en pensez, bien entendu! Et je suis tellement ravie d’apprendre que vous avez l’intention de cultiver ces beaux désirs magiques – les plus merveilleux de tous les désirs, si vous voulez mon avis – dès aujourd’hui… ;-)

Bonne journée!

aloé vera et diabète




Bonjour
Se caractérisant par un excès permanent de sucre dans le sang, le diabète
peut résulter de facteurs génétiques et environnementaux agissant de concert.

Le nombre de malades augmentant, les experts parlent aujourd'hui d'épidémie.

SE SENTIR MIEUX AVEC L'ALOE VERA

Boire 30 ml d'Aloe Vera Gel Life Essence au miel 3 fois par jour.
Faire des applications locales sur les plaies avec l'emergency spray et le gel concentrate.


Lisez le témoignage de Evelin Gatterdam.

"Je m'appelle Evelin Gatterdam, j'ai 69 ans et j'habite à Hünfeld-Morles.

Depuis 45 ans, j'ai du diabète type 1 . Le diabète est apparu après un
accouchement difficile, j'avais alors 23 ans. C'était un accouchement aux
forceps qui dura 27 heures et me fatigua beaucoup.

Le diabète fut constaté car j'avais beaucoup soif et la cicatrice de
l'accouchement ne voulait pas se refermer. J'ai pris des médicaments
pendant plusieurs années. Depuis 25 ans, je me pique 3 fois par jour
plus une fois le soir. Mes taux de glycémie étaient souvent autour de 200.

Les effets secondaires de mon diabète sont les suivants : eau dans les jambes
et risques d'infarctus car mes veines sont bouchées. Je prends des médicaments
supplémentaires pour le coeur et l'eau. Parce que les tissus dans les jambes
n'étaient plus irrigués par le sang, le 19 septembre 2002, j'ai dû être amputée
d'une partie de mon pied à l'hôpital Hünfeld (en Allemagne).

Les médecins m'ont dit que s'ils ne le faisaient pas, ce serait sous peu la
demi-jambe. Alors il ne me resta que l'opération.

Je suis restée du 12.09.02 au 08.10.02 à l'hôpital. On me prépara mentalement
en me disant que le gros orteil de l'autre jambe devrait aussi être amputé
car il y avait une plaie ouverte qui ne voulait pas guérir.

Après ma sortie d'hôpital, mes blessures n'étaient toujours pas guéries et
c'est mon médecin de famille qui continua les soins, le Docteur Herget à
Nüsstal. Au début du mois de novembre le Docteur Herget me recommanda de
prendre l'Aloe Vera gel life essence 3 fois par jour 30ml et pansa mes plaies
avec l'emergency spray et le gel concentrate ce qui a été poursuivi jusqu'à
aujourd'hui.

Déjà après 15 jours, les plaies du gros orteil commencèrent à se refermer
et la plaie de l'opération commença aussi à bien guérir.

Depuis début novembre, je prends l'Aloe Vera gel life essence régulièrement
et j'ai déjà bu 6 bouteilles. Le taux de glycémie a diminué, maintenant plus
que 148. Mes selles sont devenues normales. Ma peau n'a plus de crevasses et
n'est plus gercée mais au contraire est devenue très lisse.

Après 2 semaines, j'ai eu une rechute, j'ai eu une grosse inflammation à
l'orteil qui aurait dû être amputé (une fistule sous l'ongle). Mon pied a
beaucoup enflé et j'ai eu de fortes douleurs. L'ongle a dû être enlevé.
J'ai dû prendre des antibiotiques. Malgré l'inflammation et la prise
d'antibiotiques, le taux de glycémie n'a pas augmenté ce qui aurait été
normalement le cas.

J'ai augmenté la dose d'Aloe Vera. Entre temps, l'enflure et les douleurs
sont parties, mais la plaie doit rester ouverte pour le nettoyage.

Mais je constate la guérison de la plaie grâce à l'aloe vera. Je suis très
satisfaite de l'Aloe Vera gel life essence et suis aujourd'hui persuadée
que si j'avais connu l'Aloe Vera plus tôt, mon pied n'aurait pas dû être
amputé.

Entre-temps, j'ai acheté mon deuxième pack de 6 bouteilles et je continuerai,
dans tous les cas, à prendre de l'Aloe Vera."

Avez-vous des personnes souffrant de diabète dans votre entourage ?

Oui, alors appelez les vite peut-être leurs éviterez-vous de vivre le
même calvaire que Evelin !

Faites leurs lire ce témoignage.

et sinon, demandez dans à votre entourage si ils connaissent des gens qui
souffrent de diabète ?

De plus en plus de jeunes sont touchés par ce fléau !

samedi 12 novembre 2011

Techniques de libération émotionnelle




Récemment, le magazine Sciences et Avenir a publié un article (ainsi qu’un court-métrage sur son site) mettant en cause l’EFT (Emotionnal Freedom Technique), une technique que vous recommandez dans Principes de Santé. Comment expliquer cette critique virulente, même si le mieux reste sans doute de la tester personnellement ?

Comme vous le savez, « lorsqu’on veut tuer son chien, on l’accuse d’avoir la rage » ! J’ai vu l’article et le film dont vous parlez. Ils sont affligeants et indignes d’un journal de cette qualité. Le but évident est simplement de discréditer l’EFT sans aucune étude scientifique valable. Il suffit de voir comment les figurants (acteurs ?) effectuent les séances d’EFT pour comprendre que tout cela n’est qu’une mascarade destinée à détruire une thérapie qui prend et qui continuera à prendre de l’ampleur

Je comprends qu’il y a de quoi s’y perdre pour les personnes ne connaissant pas cette méthode révolutionnaire. Mais comme vous le dites justement, le plus simple est de l’essayer individuellement et de se faire sa propre opinion. De nombreux livres et films sont actuellement diffusés sur ce sujet dans les librairies et sur l’internet. Je comprends aussi que l’EFT irrite certains : l’EFT pouvant être réalisée seul, sans l’aide de quiconque, elle est un excellent outil d’autonomie personnelle qui pourrait remplacer nombre de prescriptions médicamenteuses… et soulager simplement bien des maux sans effet secondaire. Cependant, l’EFT a aussi ses limites et elle ne prétend pas tout soigner.