Espace bien être

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lundi 30 janvier 2012

Matin magique

«Pour réussir, votre plan doit porter sur ce que vous voulez, pas sur ce que vous avez.»
– Nido Qubein


Si on prend nos décisions en fonction de ce que l’on vit maintenant, on aura tendance à rester exactement où l’on est.

Si on prend nos décisions en fonction de ce que l’on souhaite concrétiser, on sera naturellement aspiré dans la direction désirée.

Le mouvement extérieur suit le mouvement intérieur. La réalité finit toujours par rattraper notre pensée.

Bonne journée!
Marie-Pier

mercredi 25 janvier 2012

Matin magique


«J'avais peur à une certaine époque que les gens disent: "Pour qui se prend-elle?" Maintenant, j'ai le courage de me lever et de dire: "Voici qui je suis."»
– Oprah Winfrey

On craint parfois de briller un peu trop intensément, d’occuper trop d’espace… de se prendre pour un autre, comme on dit. Or, cet «autre» qui nous semble si beau et si grand n’est rien de moins que notre être profond qui nous appelle à lui. Et si on ne se sent pas à la hauteur, il est d’autant plus important de se précipiter à sa rencontre et de lui faire une place dans notre vie. ;-)

Mantra du jour: «Voici qui je suis.»

Passez une magnifique journée! Marie-Pier

dimanche 15 janvier 2012

Matin magique



«Réussir, c’est d’abord posséder intimement en soi le sentiment irréductible que l’on va réussir. Le contexte du dehors importe peu pour qui possède l’inexorable force du dedans.»
– François Garagnon

Qu’avez-vous décidé, pour 2012?

J’ai accompagné ma mère à l’hôpital récemment, pour sa séance de chimiothérapie, et nous sommes allées manger au restaurant par la suite (je n’ai pas de photo de cette journée, alors j’ai pensé vous présenter ces magnifiques petits pois…). Nous avions le cœur à la fête, car le médecin nous avait annoncé que 90 % de ses métastases avaient fondu, selon le plus récent test d’imagerie. Bon, ce qu’il ne savait pas, c’est qu’un autre médecin nous l’avait déjà annoncé, quelques jours plus tôt… Mais on ne se lasse jamais d’entendre une aussi bonne nouvelle, et l’entendre prononcer le mot «exceptionnel» nous avait donné des ailes! ;-)

Pendant que nous dévorions notre repas, nous discutions donc de la rencontre et, bien sûr, de cette expérience que ma mère vit depuis l’été dernier. L’expérience «Boum! T’es malade! P.-S.: tu pourrais mourir…». L’expérience cortisone, cathéter, anti-douleurs, chimiothérapie. Bref, l’expérience c-a-n-c-e-r.

Entre deux morceaux de tofu, ma mère m’a dit une chose extrêmement profonde, dont j’espère pouvoir traduire la puissance ici. Elle m’a dit: «J’adore la sauce au gingembre!» Non, plus sérieusement, elle a déclaré: «J’ai décidé de guérir.» J’ai décidé de guérir… Oh, elle n’avait pas un air super déterminé et les sourcils froncés, comme sur les pochettes de films d’action. Elle était très calme, très centrée. Elle m’a expliqué qu’elle avait fait le tour de la situation – c’est-à-dire qu’elle s’était sérieusement demandé si elle voulait vivre ou mourir… Et qu’après avoir soupesé les avantages et les inconvénients de chacune des deux options, elle avait pris sa décision: guérir. Évidemment, elle voulait guérir… Mais en plus, elle l’avait d-é-c-i-d-é.

image étoile

Il y a une grande différence entre vouloir et décider. Tout le monde veut tout ce qu’il y a de meilleur, bien sûr… On veut tous un peu plus d’amour, de temps, de prospérité, de paix, de liberté. Dès que l’on est malade, on souhaite être en santé. Dès l’instant où l’on manque de quoi que ce soit, on en veut davantage. Vouloir n’est pas réellement un choix, en fait, mais un réflexe – un peu comme la faim ou la soif. Et bien qu’il s’agisse d’un mécanisme important, il y a peu de pouvoir ou de magie dans cet état. C’est une position d’observateur beaucoup plus que de participant. Et on peut avoir plusieurs «vouloirs» contradictoires en même temps.

Une décision, contrairement à un simple désir, est un alignement puissant et volontaire de nos forces intérieures. Un engagement. La racine latine du mot décision est decisio, qui signifie «action de trancher»… Il est donc question de choisir une option et de retrancher les autres. On décide que notre désir est possible et qu’on y a droit… Mais, surtout, on établit que l’on a notre mot à dire sur ce qui est possible et sur ce qui ne l’est pas.

Évidemment, il est extrêmement courageux de décider d’une chose lorsque certains éléments de la situation sont hors de notre contrôle (ou du moins, hors de notre contrôle conscient). On parle ici de devenir le héros de notre vie, vraiment… un héros qui fait face à sa peur de la mort, mais aux parties de lui qui pourraient la préférer, aussi, puis qui avance cœur premier dans la direction qu’il a choisie. Et non, il n’y a jamais de garantie… En fait, notre seule garantie – et c’est ce qui importe le plus, à mon avis – est que l’on aura dit un OUI retentissant à la vie.

Ainsi, qu’avez-vous d-é-c-i-d-é, pour 2012? ;-)

Je vous souhaite une splendide journée!

Marie Pier

mardi 10 janvier 2012

cheveux

Comment faire pousser les cheveux plus vite ?

Faire pousser ses cheveux plus vite, ce serait tellement pratique !… Mais comment faire ? S'il n'existe pas encore de produit miracle menant à une pousse de cheveux spectaculaire, on peut toutefois obtenir de bons résultats grâce à quelques astuces. En effet, une bonne pousse des cheveux commence par le fait d'en prendre soin le mieux possible.

Découvrez tous nos conseils pour stimuler la vitesse de croissance de vos cheveux et vous aider à obtenir une belle et longue chevelure !

Comprendre le fonctionnement des cheveux

Cheveux longsPour faire pousser les cheveux plus vite, il est important de comprendre la vie du cheveu. Il pousse par sa racine, laquelle se développe sous le cuir chevelu dans une minuscule enveloppe appelée le follicule pileux. Il émerge de la racine par la papille, située à la base de la racine et par laquelle le sang arrive et l'alimente. C'est donc "la matière première" que contient le sang qui va permettre au cheveu de grandir. Dans un deuxième temps, le sang passe de la papille à la matrice, où se situent les cellules de reproduction du cheveu, lesquelles sont les plus rapides de l'organisme.

La durée de vie d'un cheveu (son cycle de vie) est génétiquement prédéfini. Pour les hommes, il est en moyenne de 3 ans tandis que pour les femmes, il peut aller jusqu'à 4,5 ans environ.

De quels facteurs dépend la pousse des cheveux ?

La pousse des cheveux dépend de ce que le sang apporte à la racine, donc de notre régime alimentaire. Pour favoriser la pousse des cheveux, on recommande :

  • Les protéines soufrées que l'on trouve dans le poulet, la sole, le thon, le fromage, le jaune d'oeuf, les haricots, les lentilles, ou encore les amandes et les pistaches ;
  • Les oligo-éléments comme le zinc et le magnésium, que l'on trouve dans la banane, le cacao, les huitres, les crevettes, le jaune d'oeuf, le soja, les céréales, le pain complet…
  • Le fer qui se trouve dans les moules, le jaune d'oeuf, les huitres, la farine de soja, les céréales, les amandes et les noisettes…
  • Ainsi que les vitamines A, B et C présents dans la plupart des aliments.

La santé de la racine du cheveu est également à prendre en compte. Son développement ne doit pas être bridé par des impuretés qui s'agglutinent à sa base et qui risquent de l'asphyxier.

La vitesse de croissance du cheveu dépend du "programme génétique" de chaque individu et de son ethnie. Ainsi, pour un type caucasien, le cheveu pousse en moyenne d'1 cm/mois, pour un type africain de 0,8 cm/mois et pour un type asiatique, de 1,5 cm/mois.

La pousse du cheveu dépend également des sécrétions des hormones sexuelles véhiculées par le sang.

Enfin, les changements de saisons influent sur la pousse des cheveux. En été, la pousse est dynamisée par le soleil contrairement à l'hiver et l'automne, où tout ce mécanisme est plus en latence.

Les do et les don't

Avoir les cheveux souvent attachés n'est pas un frein à une bonne pousse des cheveux dans la mesure où l'attache est lâche. En revanche, si l'attache est trop serrée, les cheveux peuvent casser, voire tomber, par la traction continuelle exercée sur les racines. Attention donc !

A éviter également, le séchoir trop chaud et trop près du cuir chevelu, ou encore les fers à friser ou à lisser qui abîment le cheveu et peuvent faire casser. En ce sens, ils empêchent la chevelure de pousser de façon uniforme.

Il est recommandé d'utiliser des brosses conçues à partir de matières naturelles, telles que les brosses en fibres de sanglier par exemple, afin d'empêcher les cheveux de casser. Les brosses synthétiques sont vivement déconseillées. Hélène Clauderer, Fondatrice du Centre Clauderer et spécialiste du traitement des cheveux, est néanmoins contre l'utilisation de la brosse. Elle affirme qu'il est "aberrant de conseiller aux jeunes filles de se brosser sans arrêt les cheveux alors que les grands coups de brosse les arrachent. De plus, l'électricité statique provoquée par la brosse sensibilise la kératine. Si vous avez des noeuds, il suffit de les enlever délicatement au peigne" explique-t-elle.

Vous pouvez également noter que la laque dessèche, abîme et casse le cheveu. De même, les colorations répétées et autres manipulations chimiques agressent la kératine du cheveu qui va s'affiner et se casser.

Le calcaire est également mauvais pour les cheveux, surtout s'ils sont fragiles. Il vaut donc mieux les laver à l'eau douce.

Il est aussi bon de prendre l'habitude de faire des masques naturels à base de protéine de collagène associée à des huiles végétales pour nourrir et hydrater les cheveux. Attention surtout à ne pas utiliser de masque contenant des produits à base de silicone et autres substances qui sont nocives pour le cheveu.

Stimuler la pousse des cheveux

La pousse des cheveux est liée au système émotif. De ce fait, à partir du moment où l'on a un sommeil normal et régulé ainsi qu'une vie équilibrée, les cheveux le ressentent. En effet, une mauvaise hygiène de vie raccourcit le cycle du cheveu, lequel sera donc forcément moins long.

Il est conseillé de boire beaucoup d'eau et d'avoir une alimentation équilibrée, riche en protéines soufrées, en fer, en vitamines A, B et C ainsi qu'en zinc et en magnésium.

Les produits locaux "activateurs de pousse" assurent une pousse plus rapide, tout en renforçant la vigueur du cheveu. Il existe une dizaine de marques sur le marché.

En plus de ces soins locaux, il peut être intéressant de faire une cure de compléments alimentaires. Une cure en vitamines B, acides aminés et zinc est un bon choix. De même une cure de levure de bière apporte des éléments nutritionnels nécessaires pour donner de la force aux cheveux (magnésium, vitamines de groupe B). Le zinc est aussi très important. Les cures aux huiles essentielles, qui nourrissent en profondeur les cheveux, sont également recommandées à condition qu'elles soient bien dosées. Certaines appréhendent souvent ces cures de peur qu'elles accélèrent en même temps la pousse des poils. Hélène Clauderer nous répond que seuls les acides aminés soufrés peuvent agir de la sorte sur le poil. A contrôler donc !

Masser régulièrement son cuir chevelu stimule la racine et donc le cheveu, ce qui encourage à la pousse des cheveux. En effet, les massages vivifient la circulation du sang vers les racines et assouplissent le collagène des tissus environnant la racine, dégageant ainsi plus d'espace pour sa pleine activité. A éviter néanmoins si la chevelure est trop grasse.

Enfin, il faut se méfier des shampooings "miraculeux" accélérateurs de pousse. En effet, pour activer la pousse d'un cheveu, il faut atteindre sa racine, située à 4 mm sous le cuir chevelu. Or, le shampooing ne pénètre pas sous le cuir chevelu. Par ailleurs, les substances requises (huiles essentielles, vitamines, minéraux) doivent être infiniment plus puissantes et concentrées que celles que l'on retrouve diluées dans les ingrédients lavants d'un shampooing. Elles nécessitent également une technique de massages et un temps de pause plus long, afin de pénétrer dans le derme.

Mythe ou réalité ?

Une légende urbaine affirme que se couper les pointes au premier quartier de lune agirait sur les cheveux. S'il s'agit du premier quart montant, cela stimulerait la vitesse de pousse des cheveux et s'il s'agit du premier quart descendant, cela ferait pousser les cheveux plus épais. Les effets n'ont à ce jour jamais été prouvés alors pour obtenir une réponse, il ne vous reste plus qu'à essayer !

Par Sandra Rosinsky

Remerciements : Hélène Clauderer, Fondatrice du Centre Clauderer, Spécialiste de la Phyto-aromathérapie capillaire.


jeudi 5 janvier 2012

2012



C'est avec un peu de retard que je viens vous souhaitez à toutes et à tous une très bonne année 2012!
Que cette année vous soit douce et harmonieuse
Qu'elle vous permette de poursuivre votre chemin vers le bien être, votre bien être....

Il a été annoncé la fin du monde pour 2012!
Je dirais plutôt la fin d'UN monde!!!
Il est clair que nous ne pouvons pas continuer ainsi, qu'il faut que nous changions, que nous évoluions vers quelque chose de plus sain, de plus harmonieux.
Une prise de conscience est en marche et elle va continuer pour nous permettre d'aller vers une façon de vivre que j'appellerai plus authentique!

Prenez soin de vous en prenant soin de votre bien être....
Et votre chemin ira vers la Lumière.





mardi 20 décembre 2011

Les antibiotiques naturels, ça marche vraiment




En nous reposant exclusivement sur les antibiotiques chimiques, nous perdons le combat contre les maladies infectieuses.

Pour éviter une catastrophe imminente nous devrons nous tourner vers la phytothérapie et l’aromathérapie qui ont de nombreuses solutions à proposer.

Voici quelques traitements qui vous donneront les moyens de lutter efficacement contre les infections les plus courantes.

Il ne s’agit pas ici de prétendre que les antibiotiques naturels peuvent, en toutes circonstances remplacer les antibiotiques synthétiques. Mais il reste encore des maladies infectieuses fréquentes pour lesquelles les médecines naturelles et tout particulièrement la phytothérapie par les huiles essentielles présentent des possibilités très intéressantes.

Faire tomber la fièvre

Pour faire chuter une température trop élevée, il existe tout un arsenal de plantes faciles à prendre sous forme de teintures, tisanes ou de décoctions. Mais aussi des bains et des frictions.

  • Infusions
  1. L’eucalyptus
    Originaire d’Australie, l’eucalyptus est utilisé par les aborigènes pour lutter contre les infections et les fièvres.
    Laisser infuser 10 mn quatre feuilles dans une tasse d’eau bouillante. Prendre 3 tasses par jour loin des repas.
  2. Le saule blanc
    C’est un excellent antipyrétique (contre la fièvre). C’est d’ailleurs la salicine (ou acide salicylique) qu’il contient, isolée en 1880 par Bayer, qui a donné naissance à l’aspirine.
    Verser de l’eau bouillante sur une cuillère à café d’écorce séchée. Laisser infuser 20 mn. Masquer le goût amer avec de la cannelle, du gingembre, de la camomille, qui sont aussi antiseptiques.
  3. Tisanes
    75 g de racine de gentiane, 25 g de racine de gingembre, faire bouillir 5 mn et laisser infuser 5 mn. Prendre 4 à 5 fois par jour pendant la durée de la fièvre.
  4. Feuilles d’aulne, de chêne, de grassette à quantité égale
  5. Laisser infuser 10 mn. En boire 3 à 4 tasses.
  6. Poudres et teintures mères
    5 à 10 g de poudre d’écorce de saule blanc à prendre plusieurs fois par jour dans une cuiller de miel.
    50 g d’écorce de saule (en pharmacie) à macérer dans un litre de vin. En prendre un verre avant les repas.
  • Bains et frictions

Ajouter dans l’eau du bain tiède (température inférieure à celle du corps), une cuillère à soupe d’un mélange d’huiles essentielles de gingembre, camomille, genièvre, sassafras (5 gouttes de chaque dans 125 ml d’excipient solubilisant). À la sortie du bain, frictionner avec un mélange de teinture de gingembre (30 gouttes) et d’huiles essentielles de citron, camomille et sassafras (12 gouttes de chaque) dans un flacon de 125 ml d’alcoolat de gentiane.

Cas particulier des enfants

  • Huiles essentielles en massage : 3 ml de ravensara aromatica, 2 ml de myrtus communis CT cinéole, 1 ml d’aniba rosaeodora, 3 ml d’huile vierge de noisette et du transcutol pour faire 15 ml. 6 gouttes sur le thorax et le haut du dos, 6 fois par jour, pendant 48 heures.
  • On peut aussi humecter des compresses froides avec de l’huile essentielle d’eucalyptus, de lavande, d’orange amère et de ravensare (1 goutte de chaque). Appliquer sur le front et faire prendre un bain à peine tiède dans lequel on aura ajouté une cuillère à soupe du mélange suivant : camomille, gingembre, genièvre, sassafras, excipient solubilisant pour faire 150 ml.

Angines

Soigner une angine sans recourir aux antibiotiques synthétiques oui, mais il faut que les symptômes disparaissent en moins de 24 h.

Moyens locaux

  • Extraits de pépin de pamplemousse : le meilleur antibiotique naturel. 3 fois 30 gouttes par jour.
  • Propolis : c’est un antiseptique naturel. Au choix : gélules, poudre, spray, crème, comprimés ou pâte à mâcher.
  • Miel et feuilles de ronces : 1 cuillère à soupe de miel, 1 cuillère à soupe de feuilles de ronces, à laisser infuser 10 mn dans une tasse à thé d’eau bouillante. Gargarismes 3 fois par jour.
  • Racine de phytolaque et souci des jardins : une cuillère à soupe du mélange pour une tasse d’eau bouillante. Laisser infuser 10 mn. Sucrer au miel. 3 tasses par jour.
  • Mûrier noir, réglisse, plantin : 50 g de chaque à faire infuser dans 1/3 de litre d’eau. 3 tasses par jour.

Huiles essentielles :

  • Thym, eucalyptus, niaouli : 10 gouttes de chaque dans un flacon de 60 ml d’élixir de papaïne. Prendre 30 gouttes dans un verre d’eau citronnée tiède, 10 mn avant les 3 repas.
  • Bois de rose, sarriette des montagnes, thym vulgaire : 2 gouttes de chaque dans une cuillère de miel 2 fois par jour.
  • Eucalyptus radiata, girofle, thym à linalol peuvent être utilisés chez l’enfant : 2 gouttes de chaque dans une cuillère de miel 2 fois par jour.
  • Teinture mère (pour les angines aiguës) : calandula ou phytolocca ou ecchinacea. 1 cuillère à soupe dans un verre d’eau, en gargarismes.

Bronchites

  • Extraits secs
  1. En cas de bronchite aiguë : 200 mg d’extrait sec d’echinacée, en gélules ou comprimés, 4 fois par jour.
  2. En cas de bronchite chronique : 200 mg d’echinacée, 2 fois par jour, 3 mois sur 4.
  • Huiles essentielles
  1. Inhaler le parfum d’une ou plusieurs de ces huiles : benjoin, cèdre, citron, encens, eucalyptus, marjolaine et menthe poivrée. Masser la poitrine avec de l’huile de germe de blé, amande douce ou macadamia.
  2. Prendre un bain de 30 mn dans lequel on aura ajouté et bien dispersé 10 gouttes d’huile essentielle de ravensare, niaouli, thym vulgaire.
  • Diffusion atmosphérique.

10 gouttes d’eucalyptus radiata, 10 gouttes de citron, 10 gouttes de ravensara dans un inhalateur. 2 à trois séances de 20 mn.

Otites

Pour les adultes, le citron et l’ail sont conseillés pour leurs vertus antiseptiques.

  • Huiles essentielles

En usage local

  1. Faire préparer le mélange suivant : 0,25 g de lavande, 0, 25 g de girofle, 10 g de glycérine, huile d’amande douce pour faire un flacon de 30 ml. 5 gouttes dans l’oreille, 2 à 3 fois par jour.
  2. Mettre 5 gouttes d’huile d’amande douce dans le conduit auditif externe et fermer avec de la ouate.
  3. Rincer l’oreille avec une infusion de prêle.

En complément de traitement
2 à 3 gouttes d’huiles essentielles de niaouli et de cajeput mélangées à 1 cuillère à soupe de miel, 2 à 3 fois par jour.

À titre préventif
Climarome (mélange d’huiles essentielles) peut être utilisé pour frotter le thorax et le cou de l’enfant avec quelques gouttes, 2 fois par jour.

mercredi 14 décembre 2011

"La non-violence est une arme puissante et juste, qui tranche sans blesser et ennoblit l'homme qui la manie. C'est une épée qui guérit."
Martin Luther King